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.From desperate kingdom of love//...At the end of this burning world, I'll follow you into Heaven, and I'll become as a girl...

17 juillet 2006

Bouarf.

Un dernier. Le dernier. Après ça je tire ma révérance et m'envole vers d'autres contrées. Un peu de pub', tiens pour ceux qui se demandent à quoi je vais occupé mes journées. C'est un proget qui prend forme. Une idée de Pierre et Clem', une bonne idée. C'est pas n'importe quoi, il y a une réelle organisation derrière tout ça, un tas de démarche, la création d'une association, la recherche de sponsor, l'aide des lycées dijonnais etc... ça s'appel *justslam* et se sera bientôt un site pour tous les petits dijonnais qui aiment bien savoir quoi est-ce qu'il se passe dans leure ville. : ) Une petite remarque pour la partie concert (j'avoue, ça me tient à coeur) : c'est mon petit frère (grand petit frère bibi aloispounette) qui s'en occupe, avec l'aide de miss Lola, monseigneur Gabi et la bien nommée Lisa. Ma foi Arthur s'occupera, lui, des petits groupes dijonnais qui montent gentiement...
Je n'abandonne pas non plus un autre proget qui me tient à coeur. Je recontact doucement ceux qui ont eu la joie et le plaisir de lire ma pièce : P. Un autre proget qui demande un max d'investissement et de démarches. Mes journées seront bien remplies. Pour l'instant je men vais rejoindre mes soeurs dans le sud, mais en rentrant : 3 semaines de bossassion intensive parce que moi avoir besoin de sous (beaucoup de sous... genre 1400 euros). Champs Penet j'accoure.
J'espère que les hautes instences (pierre par exemple) ne m'en voudront pas d'avoir parler de tout ça, mais après tout si on commence pas dès maintenant à en faire la pub', on va couler rapidement.
Alors voilà, ma petite vie. J'ai un petit pincement au coeur tout de même, j'aimais bien ici. Vous me connaissez, ce besoin de tout recommencer à zéro. D'ici quelques semaine ce blog aura été effacé. A bientôt, autre part ...

Une petite dernière pour la route :

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16 juillet 2006

IL.

Il m'appel, me demande comment ça c'est passé. Je Lui raconte, tout. Il ne comprend pas, Il me dit "et c'est tout ? mais merde tu vas pas te laisser faire comme ça ! Réagis ! Dis moi que tu vas te battre et que tu vas gagner !". Bah nan. Mais qu'est ce qu'il croit encore celui là ? Que la vie est juste ? Que tout peut changer ? Que parce qu'on donne, on est en droit de recevoir ? Qu'on est libre et qu'en gueulant un coup je peux tout obtenir ? Nan, j'ai pas envi de crier. J'ai pas envi de tout balancer. J'ai envi de garder tout ça, pour moi. Et pourtant, putain de merde que ça me ferait du bien de chialer un bon coup.
Il aura tout de même fallut que je te vois. Ca n'est pas tout noir, ça m'a permis de mieux comprendre. C'était pourtant évident, tu ne m'aimes plus. Ouais, ça fait mal. Mais j'ai pas envi d'être malheureuse. C'est trop facile de chialer au son de "je ne t'aime plus mon amour". Trop facile de s'écrouler. Moi je veux vivre. Avec ou sans Toi. Et puis, Lui, Il est simpa, Il est présent, et attentif. Mais le mieux dans tout ça, c'est que je sais que je ne m'attacherais pas. Ca fait partie des blessures du temps. Mais c'est pas grand chose, une égratignure, ça cicatrisera rapidement. Je gardes les bons souvenirs, je te laisse les mauvais. Adieu, à présent, à jamais, pour toujours. A la vie à la mort, et au compte à rebours.

En toile de fond, la chanson des vieux amants, J.Brel.Cet homme est d'un courage qui nous surpasse tous. Se jeter comme ça au pied de celle qu'il aime... J'admire, j'admire vraiment.

Effacer toute trace de Toi. Oublier jusqu'à ton visage. Pour te retrouver, et te redécouvrir, dans une semaine, un mois, un an. Tout est à reconstruire, je dois effacer jusqu'au son de ta voix... et recommencer, une fois de plus. Il n'y a que le soleil et l'eau qui sont indispensables. Surtout à la survie des radis. Et si le sel venait à manquer, nous les mangerions nature.

14 juillet 2006

.Champagne pour tout le monde !

" Zooouuuzzzoooou !!!
- Ariaaaaaannne !!!
- J'suis avec la Bib', devine où t'es qu'on est !
- Euh....
- Devant chez toi !! alors tu mets des shoes et tu ramène ton cul, on t'emmène à la campagne !
- J'imagine qu'il m'est interdit de refuser.
- Exactement !!!!"

Ah ! Putain de merde que j'aime ces gens... Un petit chagrin la Zouz ? allé hop! Arianne n'hésite pas à faire 6 heures de route pour prendre Géraldine et débarquer à Dijon... C'est ça, je crois, les vrais amies. Au programme : herbe, paquerettes, vodka/citron, et chasse aux écureuilles. Que ferais-je sans vous les fouilles...? Couchées sur le plaid, Arianne me raconte pourquoi elle n'emmenera plus jamais Bibou manger des nems ("mais attends c'est pas de ma faute ils étaient trop chaud ! et puis il avait qu'à pas passer à ce moment là cte serveur à la con ! -Cherches pas, faudra trouver quelqun d'autre pour t'accompagner te gouinfrer de beignets aux crevettes"), Géraldine le canon dans une main et une Lucky dans l'autre ("Et Vivien ?- Attends j'ai pas épousé Yahn pour faire joli sur la cheminée, il a qu'à s'en occupé c'est son gosse après tout !")... et moi ? Moi c'est juste... le bonheur qui m'envahit doucement, et la vodka qui me monte à la tête... j'aime ce moment, vous savez la lumière au bout du tunnel. Quand la vie reprend le dessus, et que tout à coup tout est possible, que plus rien en vous arrètes. Cette sensation de liberté et cette voie qui dit : "Ne remet pas à demain ce que tu peux faire aujourd'hui". Et profiter. Trouver tout à coup son poid idéal, ses cheveux parfait, ce blanc à  1 euro exellent, le voisin irrésistible, cette musique génial, ce temps splendide et sentir la vie nous tendre les bras et rire... rire. Ce matin je ne rêvais que d'une chose : qu'on m'enlève cette perf' à la con pour pouvoir rentrer chez moi et retrouver : mon chien, mon café, mes cloppe et ma basse. Mais ec soir je veux tout, je veux la terre entière, je veux toute la musique du monde, je veux être amoureuse, amoureuse encore et encore. Changer chaques jours, rencontrer tout ceux que je n'ai pas eu le temps de rencontrer ces 12 derniers mois, et voyager l'esprit libre sans bagages ni attaches...

Gare à vous, la Zouz reprend la route, elle est pleine de frustrations et de rancoeur, mais son amour ets plus grand et plus fort que jamais... j'arrive!

Mais d'abord, Arianne. Parlons-en puisque la plupart des gens qui passent par là ne la connaissent pas (exept Mathieux). Ca commence il y a plus d'un an. Dans une fête au fin fond de la campagne, abiance pastis-DJ Jacki-berets, genre de trucs ou t'as deux solutions : soit tu te bourres la gueulle assé vite pour ne plus te rendre compte de l'endroit ou tu es, soit tu prends tes jambes à ton cou. Mais là (petite nuance) du côté du canapé, j'apperçois une grande blonde qui tente d'assomer DJ Jackie avec une bouteille de rhum. Genre j'enfile ma combi de superman et je file au secour du petit DJ. En fait elle essayait tant bien que mal de limiter les dégats (soucieuse de la santé des oreilles d'autrui la fille). A partir de là on a trippé, on c'est revue, on a bu, beaucoup bu, on a parlé, on c'est revu, revu, revu encore et encore... Et puis, c'est devenu quelqun d'important pour moi. On a en commun cet espèce d'humour à la con et ce putain de cynisme qui nous prend des fois .. Et puis on remarque toujours les mêmes choses, les mêmes personnes, les mêmes endroits. Il y a un truc chez elle, qui me ramène à moi. Ce côté impulsif aussi, et cette manière de refouler et d'oublier ce qu'il faut quand il faut. Une sorte de double. Les mêmes en différentes comme dirait Mo'. Et puis on a eu des expériences bizarres en commun. Des matins un peu troubles, des cris silencieux, des envies d'envoles, des quètes, des sourires. Je crois que c'est surtout ce qu'on a vécu qui nous a rapproché. Mais je l'aime, cette sale chienne avec sa crinière de lionne et son sourire d'ange. Souviens-toi l'été dernier ... : ) On remet ça ?

*I'm a pute.*

12 juillet 2006

Je continue ma longue et pénible tâche. Ma chasse

Je continue ma longue et pénible tâche. Ma chasse aux souvenirs. Je les mets dans le colis que je voulais t'envoyer pour la saint Beaudoin (c'est dépassé la saint valentin...). Je crois que j'ai finis. Je vais pouvoir fermer le carton et l'envoyer pourrir loin de mes yeux. J'ai décroché du mur le tract des Totor Robert. Je crois que c'est celui-ci le plus pénible, de souvenir. Pourtant ça devrait être flou dans ma mémoire. Ca va faire un an, dans quelques jours. Un an pile. Le dernier Chalon dans la rue. Se devait être le premier, il se retrouve seul. Pauvre petit souvenir échoué sur mes joues, balloté par les sanglots, baffoué en quelques mots. Je suis seule. Seule avec mon petit souvenir. Je n'ai pas envi de le faire disparaitre celui-ci. Il est tellement innocent, tellement imparfait, tellement adorable. Ce petit moment, où la terre a cessé de tourner, où tout c'est arrèté... Je veux le garder, je veux le revivre à l'infini, avec ou sans toi. Parce que ce petit souvenir à présent, il n'appartient qu'à moi, et je refuse que quiquonc le touche. Je ne veux surtout pas, l'abimer...
Il y a mon calendrier, où ton nom figure régulièrement, il a y des Cd, il y a des habits, il y a ce putain de poster de sinse et cette merde d'affiche Kowalsky. Il y a le paquet de NTB et la bouteille de vodka qu'on a jamais fini... Il y a tout ces petits papiers et tout ces cahiers, toutes ces petites choses que tu as oublié, tout ces trucs sans importance avec lesquels on a trippé, et mes draps... les draps du lit du haut. je n'étais pas montée depuis des semaines. En m'allongeant sur le matelas, j'ai cru qu'on m'enfoncait un poignard dans le dos. C'etait ton odeur..partout ton odeur, là, là, là ici là et encore là... plus jamais, plus jamais ça...

10 juillet 2006

Takk.

Ah ! Le sourire de dépression, ça c'est con : quand ça vous prend là, ça vous colle au corp, ça vous gratte partout tout le temps !!!

J'ai écouté une dernière fois Takk/Sigur Ros, avant de le ranger lui aussi dans le carton des souvenirs qu'il vaut mieux cacher au fond d'un placard...
Mais au son de Með Blóðnasir, j'ai finis par craquer... ça fait du bien, en réalité. Je décompresse doucement...

                                                                          Takk

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10 juillet 2006

Il y a des phrases très simpathiques sur les

Il y a des phrases très simpathiques sur les lèvres ce matin... des "il ne te mérite pas", des "il n'a pas le droit" et des "c'est un connard". Mais moi, au fond, qu'est ce que j'en ai à foutre de savoir s'il y a un mérite à être avec moi, ou si nous avions des engagements l'un envers l'autre ou encore de connaitre ses valeurs... Rien, je n'en ai rien à foutre. C'est même plus fort que ça, rien que d'y penser ça me répugne. Ce que je voudrais moi, c'est tout recommencer. Pas pour corriger le passé, mais pour le revivre. Faire les mêmes erreures, avoir les mêmes peurs, mais aussi passer les mêmes bons moments... Tu m'avais pourtant dis, que l'été serait génial... tu as menti. Encore un de tes sales mensonges, une de tes putain de promesses faite dans le vent. Encore.

Tiens, il y a du nouveau, par là : ici!

             flowerpower2

9 juillet 2006

Dis, c'est quand le bonheur... ? Ô misery... Je

Dis, c'est quand le bonheur... ?

Ô misery...

Je ne vais plus plus pleurer,
Je ne vais plus parler...
Je me cacherais là, à te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter chanter et rire...
Laisse moi devenir l'ombre de ton ombre,
L'ombre de ta main,
L'ombre de ton chien...

Moi je l'ai tant aimé
Tant aimé, tant aimé
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
Moi je l'ai adoré,
Adoré...

9 juillet 2006

Mes regrets. Micheeeeeeeel P.

*Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l'on donne
Sont comme les baisers que l'on vole
Il reste une rancœur subtile
Qui gâcherait l'instant fragile*

Allé Zouz, on repart ..

*Ne crains rien de moi je ne troublerai pas
Ton bonheur qui commence où finit ma joie
Vraiment je n'savais pas qu'en un soir on pouvait...
Mais à quoi bon, à quoi bon...

A quoi bon te dire que la vie n'est possible qu'avec toi
Tu ne m'écoutes pas
Tu n'me vois pas
Comme tu es loin déjà

Si une heure un soir on pouvait se revoir...
J'ai dit des mots stupides et vides d'espoir
Il faut me pardonner je ne m'suis pas encore...
Habituée, habituée

Il faut dire que tout change si rapidement
Je dois fermer les yeux pour te voir comme avant
Non non ne parles pas
En moi j'entends ta voix comme avant, comme avant

Elle me dit des mots cette voix
Comme c'est loin tout ça
Mais parles, fais quelque chose ne me laisse pas
M'en aller comme ça

Navrée d'avoir dérangé une si belle soirée
Je suis venue avant tout pour te demander
Non pas de revenir, seul'ment de n'pas sourire
Sourire, ne pas sourire*

A quoi bon... tu ne m'écoutes pas... inutile de te lever pour m'écouter... où finie ma joie... ne pas sourire... mes regrets... comme tu es loin déjà... un soir... stupide et vide d'espoi... je ne me suis pas encore habituée...

9 juillet 2006

.J'ai tellement besoin de toi.

Pourquoi faut-il se dire adieu...
Pourquoi faut il que les avions décollent et que les trains s'en aillent ?M
Et où sont ils mon pays, mon école, mes amis, mes batailles ?

Pourquoi, oh pourquoi faut il se dire adieu... ? Pourquoi faut il un jour se dire adieu ?

Pourquoi faut il qu'on ne revoit jamais un amour de vacances ?
Pourquoi faut il qu'une fille que j'aimais tire sa révérance ?

Pourquoi, oh pourquoi, faut il se dire adieu ? Oh, pourquoi faut il un jour se dire adieu ?

Si tu reviens nous auront pour toujours un été sans septembre...
Sans lendemain, sans que tombe le jour
Nous vieillirons ensemble...

Pourquoi, oh pourquoi veux-tu me dire adieu ? Et pourquoi faut il un jour se dire adieu...?
Pourquoi, oh pourquoi faut il se dire adieu...

M.Polnareff

9 juillet 2006

J'avais commencé à écouter, parce que Manon

J'avais commencé à écouter, parce que Manon passait l'album en boucle... je me suis tellement retrouvée dedans que j'ai fini par ne plus pouvoir m'en passer...

A force de flirter avec les extrêmes,
Tita de sa vie perd le sens même,
A force de repousser les limites,
Perpétuellement Tita prend la fuite.

Tita rêve d'un amour canicule
Tita parle d'un monde funambule,
Tita crève dans le désert aride,
Prise au piège de sa peur du vide.

Et puis il y a mon éternel ami Michel qui une fois de plus sait mettre en musique les mots qui me tourmentes.

Quand j'entend cette chanson
je pense aux jours anciens
où nos vies ne faisaient qu'une
nos coeurs ne faisaient qu'un

Toi tu mettais des mots d'amour
sur cet air familier
Et jamais depuis ce temps
je n'ai pu l'oublier

Une simple mélodie la lala lalalala
Où les dieses et les bemoles
chantaient notre harmonie

Une simple mélodie la lala lalalala
chaque fois que je l'entend
le passé me sourie

Mais un soir tu es partie pour une autre musique
me laissant seul sur une note amere et nostalgique
Et si le temps a effacé tes traits dans ma mémoire
elle est restée la chanson qui disait notre histoire

Une simple mélodie la lala lalalala
Me rappel quand je l'entend l'amour qu'on nous a pris
Une simple mélodie la lala lalalala
Où trois notes suffisaient pour faire une symphonie

Une simple mélodie la lala lalalala
Où les dieses et les bemoles
chantaient notre harmonie

Une simple mélodie la lala lalalala
Quand la musique est finie
l'amour s'arrete aussi

En me baladant dans ma mémoire je me suis souvenue de cette soirée...c'était si doux.. je chantais, tu souriais..

Un oiseau de plus
Un oiseau de moins
Tu sais, la différence c’est le chagrin
Ca n’arrive qu’aux autres
Mais c’était le nôtre
Tu sais, la différence c’est le chagrin...

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